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Publié le 19/11/2020
B8TA, Le forum / Innover pour le commerce
Partant du constat que les acheteurs en ligne veulent toujours avoir la possibilité de manipuler, toucher ou tester les produits en « vrai », la start-up B8TA a ouvert un lieu dédié au showrooming à Los Angeles.
B8ta propose une nouvelle forme de retail physique. Cette dernière ne cherche pas à vendre sur place, mais offre aux pure players un showroom parfait sans en assumer les contraintes. Ce nouvel acteur du retail n’est pas seul dans le genre, Re:store, Neighborhood Goods, Showfields proposent également de très beaux écrins. Ni offline ni online, ils permettent à des marques digitales de rencontrer leur public à moindres frais.
Après le co-working, voici le co-selling, puisque ces lieux proposent un package marketing bien ficelé. L’offre se décline sous forme d’un abonnement mensuel pour la location de l’espace et l’accès à la plateforme logicielle. Celle-ci leur permet de gérer leur inventaire, construire leur marketing, mais aussi d’obtenir des données très précises sur le profil des clients et le temps passé sur chaque objet via les caméras du magasin et ainsi de décider seules d’adapter leur prix.
L’enseigne se veut « sélectionneuse» des nouvelles marques digitales natives et actives une communauté autour de ses nouvelles pépites hébergées, c’est finalement un point de contact physique géré à la manière d’un site marchand grâce à une analyse des données précise qui donne à chaque marque le ROI de cette exposition plus ou moins temporaire.
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Partant du constat que les acheteurs en ligne veulent toujours avoir la possibilité de manipuler, toucher ou tester les produits en « vrai », la start-up B8TA a ouvert un lieu dédié au showrooming à Los Angeles.
B8ta propose une nouvelle forme de retail physique. Cette dernière ne cherche pas à vendre sur place, mais offre aux pure players un showroom parfait sans en assumer les contraintes. Ce nouvel acteur du retail n’est pas seul dans le genre, Re:store, Neighborhood Goods, Showfields proposent également de très beaux écrins. Ni offline ni online, ils permettent à des marques digitales de rencontrer leur public à moindres frais.
Après le co-working, voici le co-selling, puisque ces lieux proposent un package marketing bien ficelé. L’offre se décline sous forme d’un abonnement mensuel pour la location de l’espace et l’accès à la plateforme logicielle. Celle-ci leur permet de gérer leur inventaire, construire leur marketing, mais aussi d’obtenir des données très précises sur le profil des clients et le temps passé sur chaque objet via les caméras du magasin et ainsi de décider seules d’adapter leur prix.
L’enseigne se veut « sélectionneuse» des nouvelles marques digitales natives et actives une communauté autour de ses nouvelles pépites hébergées, c’est finalement un point de contact physique géré à la manière d’un site marchand grâce à une analyse des données précise qui donne à chaque marque le ROI de cette exposition plus ou moins temporaire.